L’économie face à l’épidemie covid-19
17 avril 2020Le tourisme impacté par l’épidémie mondiale
Aujourd’hui l’économie mondiale est en grande souffrance sur l’ensemble des continents. Les mesures de quarantaine mettent en péril l’économie à cause de la fermeture des usines et également en conséquences de la restriction des voyages commerciaux mais surtout ceux liés au tourisme.
Le secteur des services sera marqué par la forte contraction de l’activité touristique, des plages fermées, des structures hôtelières et des restaurants à l’arrêts sans parler de tous les établissements de loisirs et de divertissements qui se lient à toute cette activité. A ce jour, l’incertitude demeure. Pour plus de précisions sur l’impact économique on vous donne l’envie de visiter le mag de jobphoning, qui propose des actualités très concrètes avec des sources fiables sur l’activité économique suite à cette épidémie.
Pour en revenir au tourisme, ce sont également des chaines d’approvisionnement et une perte de confiance de la part des consommateurs qui deviennent les signes les plus probants de cette crise financière mondiale. On observe donc plusieurs impacts, ceux sur le dommage que l’activité à l’arrêt des entreprises ont sur les employés. Ceux sur la gestion à « flux tendus » des chaines d’approvisionnement internationales et enfin sur les clients qui probablement modifieront leur habitudes d’achat ainsi que l’augmentation de la vente en ligne qui forcement perturbe le commerce de détail traditionnel.
Tant de questions et encore trop peu de réponses sur la reprise économique après crise, les professionnels du tourisme sont très inquiet comme l’indique l’article du monde.
On peut en conclure que le covid-19 aura un impact sur une marge temporaire de deux ou trois ans (selon les instituts de recherche) face aux comportements des gens en matière de voyage et donc sur le secteur du tourisme. Il est peu probable que la consommation reprenne immédiatement après le confinement suite aux licenciements liées à la fermeture des entreprises qui engendre un coût de crise assez élevé.